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09/20/2023 09:00
09/20/2023 13:00
Europe/Paris
L'utilisation des mécanismes de droit fiscal dans le contrôle de la pollution atmosphérique
La fiscalité environnementale occupe une place de plus en plus importante dans les systèmes fiscaux modernes. Cependant, ses contours juridiques ne sont pas toujours clairement délimités et visibles, que ce soit, d’une part, l’utilisation des instruments fiscaux par l’autorité publique pour réguler...
Adresse :Salle des fêtes - Centre Panthéon (esc. M, 2è ét.) - 12 pl. du Panthéon, 75005 PARIS
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Jury : Benoît Delaunay - Professeur des Universités - Université Paris-Panthéon-Assas, directeur de thèse
Xavier Cabannes - Professeur des Universités - Université Paris Cité, rapporteur
Renaud Bourget - Professeur des Universités - Université de Nice, rapporteur
Sara Brimo- Professeur Junior- Université Paris-Panthéon-Assas
La fiscalité environnementale occupe une place de plus en plus importante dans les systèmes fiscaux modernes. Cependant, ses contours juridiques ne sont pas toujours clairement délimités et visibles, que ce soit, d’une part, l’utilisation des instruments fiscaux par l’autorité publique pour réguler les émissions de gaz à effet de serre, ou, d’autre part, des mesures adoptées par les contribuables pour optimiser leur charge fiscale.
C'est pourquoi l'objectif de la présente recherche est une analyse profonde de deux aspects complémentaires du problème d’utilisation des mécanismes fiscaux dans le contrôle des émissions de gaz à effet de serre :
- Au point de vue du droit public, le respect des limites à valeur constitutionnelle pour garantir la conformité de l’imposition environnementale aux principes élaborés par des juridictions nationales dans le cadre d’un approfondissement du contrôle juridictionnel de la loi fiscale.
- Sur le terrain du droit privé, les investissements et autres instruments économique dans le contexte d’augmentation progressive des engagements de l’État moderne en matière de limitation des émissions polluantes et du contrôle du réchauffement climatique, c’est-à-dire sous le signe d’un accroissement de charge fiscale commune.