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Jean-Baptiste Crettez, responsable de la data et des classements

Vie de l’établissement
Jean-Baptiste Crettez, responsable de la data et des classements
Jean-Baptiste Crettez
Jean-Baptiste CRETTEZ rejoint la direction Recherche, Projets et Prospective de l'Université Paris Panthéon-Assas

Monsieur Jean-Baptiste CRETTEZ a rejoint la direction Recherche, Projets et Prospective de l'Université Panthéon-Assas en septembre 2022 en tant que responsable de la data et des classements. Entretien.

Pouvez-vous revenir sur votre parcours ? 

Je suis un pur produit de l’Université Paris Panthéon-Assas. J’y suis arrivé en 2012 pour faire une licence d’économie-gestion avec deux spécialités : analyse économique et économie managériale et industrielle (qui est actuellement la licence économie de l’entreprise et des marchés). J’ai continué mes études dans le master Stratégies de l’entreprise et économie des organisations. Durant mes deux années de master, j’ai eu des activités au sein de la Junior-Entreprise de notre université, Assas Junior Conseil, où j’ai supervisé différentes missions. Par la suite, j’ai rédigé une thèse de doctorat en sciences économiques sous la direction des Professeurs Damien GAUMONT et Alain PIROTTE, en partenariat avec la société Médiamétrie. 

Quelles sont vos fonctions et vos missions au sein de la direction Recherche, Projets et Prospective ? 

Je suis responsable de la data et des classements. Ma principale mission consiste à faire en sorte que notre université apparaisse dans les classements nationaux et internationaux. L’Université Paris Panthéon-Assas est déjà présente dans certains classements français, par exemple le classement Thotis publié en avril dernier où nous sommes la première université française en droit et en économie sur le critère de rémunération de nos diplômés. Par ailleurs, 27 de nos Masters figurent dans le classement du groupe Eduniversal, dont 15 sont dans le top 3 selon les spécialités. Ce sont de très beaux résultats, mais nous devons également figurer dans les classements internationaux. Être présent dans ces classements permet de se faire connaître des meilleurs enseignants-chercheurs et étudiants du monde entier, de développer des partenariats avec des entreprises ou des institutions, d’augmenter nos chances d’obtenir des appels à projets…

Pour rentrer dans ces classements, il est nécessaire de réunir un grand nombre d’indicateurs statistiques : taux d’insertion professionnelle, rémunération moyenne, nombre de publications de recherche selon les disciplines, parité homme-femmes parmi nos enseignants-chercheurs, taux de réussite… Or actuellement, ces données sont disséminées dans les différentes directions et composantes de l’université, sans qu’elles soient centralisées. Ma deuxième mission consiste à consolider ces données pour faciliter notre entrée dans les différents classements. 

J’ai une troisième mission qui consiste à aider les directions et les instances de l’université à récolter et analyser les différentes données dont elles ont besoin. 

Quels sont les projets prévus ainsi que vos priorités pour l'année universitaire 2022-23 ?

Actuellement, nous réalisons pour chaque classement (qu’il soit national ou international) la liste des indicateurs statistiques qu’ils demandent pour y figurer. Ceci implique un énorme travail d’audit que nous menons actuellement au sein de notre université. 

Comme les classements prestigieux (Shanghai, CWUR, Times Higher Education,…) utilisent les bases de données InCites de Clarivate, ou encore Scopus d’Elsevier pour évaluer la qualité de la recherche des établissements, il est nécessaire d’apprendre à maîtriser le fonctionnement de ces outils afin que notre université puisse y entrer. Or actuellement, nous constatons que les publications de nos enseignants-chercheurs n’apparaissent pas toujours sur ces plateformes, ce qui restreint nos chances de rentrer dans ces classements bien que nous en ayons la capacité. Cela est en partie lié à un mauvais référencement de notre établissement dans ces bases de données. C’est pourquoi nous travaillons actuellement à l’amélioration de notre référencement. Par ailleurs, les revues de droit ne sont pas référencées par ces plateformes internationales, car les éditeurs n’envoient ni résumé en anglais ni métadonnées permettant de repérer et de référencer ces revues. 

Votre fonction étant transversale, comment allez-vous interagir avec les autres directions ?

Comme expliqué plus haut, cela fait 10 ans que je suis à l’université Paris Panthéon-Assas, où j’ai pu occuper différentes positions : celle de l’étudiant à tous les niveaux d’études, celle du chargé de travaux dirigé, et maintenant celle de l’administratif. Je connais déjà un grand nombre d’acteurs au sein de l’université, ce qui va permettre de remplir rapidement mes missions. J’ai l’habitude de mener des projets et de travailler en équipe, en particulier lorsque les projets sont transversaux. Un travail de concertation avec la direction générale et les directions concernées devra probablement être mené pour définir de manière claire et efficace les processus de pilotage de la donnée. Cela signifie que je serai amené à prendre contact avec les différentes directions et composantes de l’université qui disposent des données indispensables pour augmenter nos chances de rentrer dans les classements.

Comment peut-on vous contacter ? 

Par mail : Jean-Baptiste.Crettez@u-paris2.fr
Par téléphone : 01 44 41 56 58
Dans mon bureau : 104 B au centre Panthéon