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Antoine PETIT, président-directeur général du CNRS représenté par Alain SCHUHL, directeur général délégué à la science du CNRS et Stéphane BRACONNIER, président de l’Université Paris-Panthéon-Assas, ont signé le 29 août 2023 une convention de partenariat.
Ce partenariat a pour objectif de porter des éléments de la politique scientifique partagée entre les deux institutions, et de soutenir la recherche, notamment les sciences du droit, leurs enjeux contemporains mais aussi leur appréhension dans le temps long de l’histoire et la connaissance des administrations publiques.
Le partenariat entre le CNRS et l’Université Paris-Panthéon-Assas couvre des champs de recherche en sciences humaines et sociales qui figurent parmi les domaines de connaissance prioritaires des deux établissements. Deux unités mixtes de recherche, au sein desquelles se développent des recherches d’excellence et internationalement reconnues, sont les éléments clé de ce dispositif :
Attentifs à maintenir la dynamique de ces recherches, le CNRS et l’Université Paris-Panthéon-Assas souhaitent favoriser le développement des démarches interdisciplinaires et inciter au déploiement des initiatives et des coopérations scientifiques entre les sciences humaines et sociales et à l’interface des autres sciences, notamment dans la perspective d’appréhender certaines questions de recherche en droit qui s’inscrivent d’emblée dans l’interdisciplinarité.
Le CNRS et l’Université Paris-Panthéon-Assas favorisent aussi la recherche en réseau, comme c’est déjà le cas avec l’implication de l’Institut d’histoire du droit Jean Gaudemet au sein de l’International Research Network (IRN) dans le domaine de l’histoire européenne du droit des affaires, le réseau PHEDRA, dirigé par Luisa BRUNORI, directrice de recherche au CNRS.
Cette convention partenariale entre l’Université Paris-Panthéon-Assas et le CNRS s’attachent à approfondir leurs collaborations autour de ces champs de recherche spécifiques, tout en étant attentifs à développer des initiatives de nature plus prospective et à les inscrire dans une démarche accrue de transfert des connaissances vers la société et les acteurs non académiques, démarche qui dispose déjà d’un ancrage solide au sein de l’Institut des études et de la recherche sur le droit et la justice.