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C'est toujours un exercice difficile que de se présenter en quelques mots.
Peut-être pourrais-je commencer par quelques éléments factuels. Je suis originaire d'Annecy (74), ville où j'ai passé toute mon enfance, mais que j'ai ensuite quittée pour mes études et ma vie professionnelle, ce qui m'a amené à habiter successivement à Grenoble, Lyon, Bordeaux, Bruxelles, Londres et aujourd'hui à Paris.
Ayant été très investi dans les associations étudiantes durant mon cursus, j'ai choisi de démarrer mon parcours professionnel dans le monde universitaire et ai intégré en 2017 le service des relations internationales de l'université Paris Nanterre (UPN) en qualité de chef du pôle d'ingénierie de projets européens et internationaux. Après trois ans à ce poste, suivi d'une année à Sorbonne Université comme responsable du développement international, j'ai saisi l'opportunité de rejoindre cette belle maison qu'est l'université Paris 2 Panthéon-Assas comme directeur de cabinet du président.
Si je ne devais retenir qu'un projet, ce serait le succès à l'appel à projets « Universités européennes », qui a mené en 2019 à la création de l'European Digital UniverCity (EDUC) à laquelle participe l'université Paris Nanterre. La réalisation de ce projet a été le fruit d'un an de travail et de discussion avec 5 partenaires européens de l'UPN.
Depuis 2020, les missions du directeur de cabinet sont assez clairement explicitées par un emploi-type. Il s'agit principalement d'assurer le lien entre la présidence et la direction de l'université en contrôlant l'application des décisions stratégiques. À ce titre, je conçois le rôle du directeur de cabinet comme étant le bras droit du président dans la définition et la mise en œuvre de ces stratégies. Il doit être en mesure de prendre du recul et la hauteur de vue nécessaire aux débats en amont de la décision. En étroite collaboration avec le directeur général des services, il coordonne enfin la gestion de crise et supervise l'activité de la communication de l'établissement.
Premièrement, je conseille le président sur tous les sujets qui le nécessitent, que ce soit en direction de la communauté, comme par exemple sur l'organisation des examens, ou encore des dossiers tournés vers l'extérieur comme la définition d'une politique de site, la stratégie immobilière ou la politique européenne internationale. J'entretiens également des liens étroits avec les vice-présidentes et les vice-présidents, assurant ainsi un suivi des dossiers et la bonne circulation de l'information au sein de l'équipe.
Ensuite, je supplée le président sur un certain nombre de dossiers, dans la mesure où ils ont déjà été arbitrés. Je suis en cela très en lien avec les élus aux différents conseils, les enseignants et les services de l'université et suis un interlocuteur privilégié des membres de la communauté universitaire pour toute interrogation liée à la vie de l’université.
La qualité et la fluidité de ma relation avec Monsieur CROISSANT, le directeur général des services (DGS), sont, dans cette perspective, absolument primordiales. Pour dire les choses simplement, le DGS, qui est également un interlocuteur-clé du président, conserve, de son côté, la plénitude de sa fonction administrative et institutionnelle, quand ma fonction, elle, est essentiellement politique. Cette articulation claire des missions contribue au bon fonctionnement de l'université et à son efficacité.
Enfin, je prends une part active dans l'action de la cellule COVID et dans la communication de l'université.