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Il existe dans le monde des femmes et des hommes qui n’ont pas le droit de chercher et de dire. La matière à recherches est délicate et complexe. Elle est également inégale et injuste. Le droit français et le droit européen n’échappent pas à ces constatations. Cet ouvrage passionnant initié par l’Académie des sciences morales et politiques rassemble des regards d’académiciens, de professeurs d’Universités et Prix Nobel.
Il existe (encore) dans le monde des femmes et des hommes qui n'ont pas le droit de chercher et de dire. La matière à recherches (ou la matière de la recherche) est délicate et complexe. Elle est également inégale et injuste.
Le droit français et le droit européen n'échappent pas à ces constatations.
Pour ce qui concerne la recherche mondiale, on peut alors schématiser de stratégies concevables : « 1) La trentaine de pays qui assurent aujourd'hui 98 % de la production scientifique restent entre eux ; 2) Ces pays gardent leur rôle dominant en puisant dans les pays pauvres des scientifiques qui augmentent leur potentiel (profitant de l'exil des élites scientifiques de ces pays) ; 3) Ils favorisent l'inclusion de nouveaux membres dans leur réseau ; 4) Les pays pauvres mobilisent leurs propres ressources pour se doter d'institutions de recherche et d'enseignement supérieur avec a) de façon à accroître leur réceptivité aux travaux faits ailleurs ; b) et à augmenter leur créativité (par des recherches libres et par des recherches appliquées) »
Le présent ouvrage fait suite à une réflexion entre scientifiques et juristes initiée par l'Académie des sciences morales et politiques et le Centre de recherches en théorie générale du droit (avec le soutien du Laboratoire de Droit de la santé de l'Université Paris VIII - EA 1581).
Ont collaboré à cet ouvrage : Françoise BARRÉ-SINOUSSI, Claude COHEN-TANNOUDJI, Hélène GAUMONT-PRAT, François GROS, Grégoire LOISEAU, Catherine PUIGELIER, Gilles RAOUL-CORMEIL, Bertrand SAINT-SERNIN, François TERRÉ.
Il existe dans le monde des femmes et des hommes qui n’ont pas le droit de chercher et de dire. La matière à recherches est délicate et complexe. Elle est également inégale et injuste. Le droit français et le droit européen n’échappent pas à ces constatations. Cet ouvrage passionnant initié par l’Académie des sciences morales et politiques rassemble des regards d’académiciens, de professeurs d’Universités et Prix Nobel.
Il existe (encore) dans le monde des femmes et des hommes qui n'ont pas le droit de chercher et de dire. La matière à recherches (ou la matière de la recherche) est délicate et complexe. Elle est également inégale et injuste.
Le droit français et le droit européen n'échappent pas à ces constatations.
Pour ce qui concerne la recherche mondiale, on peut alors schématiser de stratégies concevables : « 1) La trentaine de pays qui assurent aujourd'hui 98 % de la production scientifique restent entre eux ; 2) Ces pays gardent leur rôle dominant en puisant dans les pays pauvres des scientifiques qui augmentent leur potentiel (profitant de l'exil des élites scientifiques de ces pays) ; 3) Ils favorisent l'inclusion de nouveaux membres dans leur réseau ; 4) Les pays pauvres mobilisent leurs propres ressources pour se doter d'institutions de recherche et d'enseignement supérieur avec a) de façon à accroître leur réceptivité aux travaux faits ailleurs ; b) et à augmenter leur créativité (par des recherches libres et par des recherches appliquées) »
Le présent ouvrage fait suite à une réflexion entre scientifiques et juristes initiée par l'Académie des sciences morales et politiques et le Centre de recherches en théorie générale du droit (avec le soutien du Laboratoire de Droit de la santé de l'Université Paris VIII - EA 1581).
Ont collaboré à cet ouvrage : Françoise BARRÉ-SINOUSSI, Claude COHEN-TANNOUDJI, Hélène GAUMONT-PRAT, François GROS, Grégoire LOISEAU, Catherine PUIGELIER, Gilles RAOUL-CORMEIL, Bertrand SAINT-SERNIN, François TERRÉ.